Transformation digitale

D’où ça vient : Nos sociétés connaissent une révolution informatique ininterrompue depuis 35 ans. Elle a connu plusieurs cycles : informatique personnelle, mise en réseau par l’Internet, développement de réseaux sociaux. Nous faisons face aujourd’hui à une quatrième vague (qui ne sera pas le dernière) et qui accélère encore les bouleversements que nous avons déjà connus.

Ce que c’est : Le mot important toutefois est celui de transformation car cette vague, plus que les autres affecte comportements et processus. Elle est fondée sur l’ultra mobilité et donc l’individualisation extrême et sur les usages, mais elle mobilise de nouvelles méthodes d’innovation avec de nouvelles exigences de sécurité (par exemple sur la protection des données personnelles sensibles, cf. le RGPD). Surtout, la transformation digitale entraîne une nouvelle approche de la donnée (dont le nombre enfle de manière exponentielle) nécessitant une maîtrise stratégique de la donnée. Les nouveaux outils (Big Data, Intelligence artificielle, Blockchain) ne sont ici que des instruments par rapport à un objectif proprement stratégique. En effet, la rapidité du bouleversement peut toucher à la survie même des entreprises.

Mieux comprendre : Dans l’expression « transformation digitale », le mot important, c’est transformation. Autrement dit, il ne s’agit pas d’acquérir des outils récents ou de numériser des processus. La démarche est bien différente puisqu’elle part des usages et des besoins des clients, des usagers et des collaborateurs. La transformation digitale affecte profondément l’organisation de l’entreprise et jusqu’à sa culture, permettant ainsi une meilleure performance et surtout de s’adapter à la concurrence actuelle, beaucoup plus vive et décentralisée qu’autrefois. Des start-ups viennent défier des géants installés grâce à une agilité et à l’abaissement des barrières à l’entrée. Mais le combat entre David et Goliath n’est pas toujours au profit du petit car celui qui est installé peut lui aussi s’adapter et devenir plus véloce. Chacun a ses chances, pourvu qu’il utilise les mêmes règles du jeu et donc qu’il se remette en cause.

La TD consiste au fond à prendre l’initiative de se remettre soi-même en cause avant que les concurrents ne le fassent de manière trop radicale, mettant en jeu la survie de l’entreprise. C’est choisir de faire évoluer son business model de façon à développer de nouvelles façons de créer de la valeur.

Je peux vous aider à en prendre conscience (87 % des dirigeants d’ETI et PME n’ont pas identifié la transformation digitale comme une priorité stratégique de leur entreprise) ; à dégager les axes principaux d’une stratégie de TD autour du client, de l’organisation et des partenaires de l’entreprise ; à vous accompagner dans l’établissement et la conduite de la feuille de route de votre transformation digitale.

Mon approche : Aller au-delà des effets de mode, comprendre réellement les enjeux de la transformation digitale en cours, identifier les axes stratégiques, aider à les mettre en œuvre grâce à une expérience approfondie de gros chantiers de transformation, voici ce que je peux vous apporter.

La même méthode  progressive est pour cela suivie, permettant l’appropriation par la direction mais aussi par les collaborateurs des lignes stratégiques qui ont été identifiées et choisies :

  • De quoi s’agit-il ? Cette acculturation permet de sortir des clichés et fantasmes pour comprendre avec simplicité ces domaines, qui ne sont pas réservés à des informaticiens.
  • L’état des lieux permet à la fois de recueillir les besoins de l’équipe mais aussi des collaborateurs tout en définissant progressivement ce que représente, pour vous, le chemin stratégique : une « ambition en première approche » est alors élaborée.
  • L’éclairage : les premières expérimentations à faible coût permettent de tester à la fois les besoins, les réponses, les méthodes et le dialogue interne à l’organisation, afin de mobiliser l’entreprise autour du projet défini.
  • Le développement permet, après avoir revu et corrigé « l’ambition en première approche », de généraliser les chantiers éclaireurs les plus prometteurs, d’en lancer de nouveaux et de densifier l’opérationnalisation de la stratégie.